Quelques textes de L'ANTRE PRODUCTIONS

Salut à tous! Je viens de découvrir cette catégorie sur le forum! J'en profite pour partager avec vous quelques textes de rap que j'écris entre deux planches de BD ou deux dessins! Je ne les ai jamais vraiment fais lire à personne, ils sont assez personnel mais bon, la démarche reste artistique donc ...


BESOIN DE PRENDRE LE LARGE

Dardé dans ce monde, tu n'es qu'une rose dans le bitume/
Tu as du mal à prendre racine, tu es oppressé par l'amertume/
Regarde autour de toi, tout ces pétales fanés à l'usure/
Tous en quête de bonheur, mais où est donc la plénitude?/
Tu la cherches, rime t-elle réellement avec «thune»?/
Sous ce lampadaire, c'est ce soir que je lâche ce texte/
Ouais, ce soir ma plume saigne car elle est à bout de nerfs/
J'ai besoin d'une bouffée d'air car j'étouffe dans mon désert/
Ici-bas la vie est loin d'être évidente, ça tu le sais/
Entre rêves et réalité, entre mensonges et vérité/
Entre bonheur et liberté, ce soir je laisse glisser les mots/
A bord du train fantôme, moi, j'observe par le hublot/
Ce décor parmi lequel je refuse de me complaire/
Jeune et seul, esseulé tel un loup solitaire/
La fuite comme refuge, c'est dans mon antre que je passe/
Chacun des soirs de pleine lune mais qu'est-ce que tu veux que je fasse?/
Quand pris à la gorge, rongé par la solitude,/
Peur que tes proches te délaissent et que tu es perdu dans la brume/
Tu cherches à t'évader, tu veux fuir ta propre vie/
Tu es sur le point d'exploser, tu veux partir loin d'ici/
Ce besoin d'exister me pousse à prendre le mic, je hurle/
Mais personne ne m'entend! C'est sous ce voile nocturne,/
La plume pour confidente, que j'écris ces quelques trucs/
Besoin de me libérer les tripes, non pas d'écrire un tube/
Acculé dans ce système, je voulais prendre mon envol/
Briser mes chaînes, voyager, je voulais découvrir le monde/
Les ailes déployées, je voulais vivre mes rêves de môme/
Pouvoir changer d’atmosphère, pouvoir vivre comme un Homme/
Acculé dans ce système, je voulais prendre mon envol/
Briser mes chaînes, voyager, je voulais découvrir le monde/
Les ailes déployées, je voulais vivre mes rêves de môme/
Pouvoir changer d’atmosphère, pouvoir vivre comme un Homme/
Je me rappelle de mon enfance, j'étais un gosse peu docile/
Chien sale, enfant seul, un caractère difficile/
Dix piges, incompris, ma plume est née j'avais cet âge/
J'étais en marge, peu bavard, moi je voulais prendre le large/
Loin de la plage, face à ma page, c'est dans ma barge/
Que j'ai subi, supporté ce monde de fous qui a tendance à me rendre barge/
Si ce soir j'écris, je fuis, c'est que je ne veux pas péter un câble/
Besoin de m'éloigner du rivage, Petit Panda en sucre où ai-je mi les rames?/
Tant pis, ça ne fait rien, ce soir, pour une fois, j'y vais à la nage/
La mer est agitée, je vais me faire fouetter par les vagues/
Mais rien à foutre, anesthésié et ça à force de douleur/
L'esthésie s'inhibe encore car Elle m'a torpillé le cœur/
Dans l'eau glacée, en léthargie je m'endors, je coule, je me noie/
Submergé, j'ouvre alors les yeux et j'observe autour de moi/
Ce décor qui m'entoure: les ruines de Babylone, je vois/
Une annonce de notre avenir? Certainement, ouais, je crois/
Acculé dans ce système, je voulais prendre mon envol/
Briser mes chaînes, voyager, je voulais découvrir le monde/
Les ailes déployées, je voulais vivre mes rêves de môme/
Pouvoir changer d’atmosphère, pouvoir vivre comme un Homme/
Acculé dans ce système, je voulais prendre mon envol/
Briser mes chaînes, voyager, je voulais découvrir le monde/
Les ailes déployées, je voulais vivre mes rêves de môme/
Mais tu plaisantes j'espère, ici tu vis à Babylone/


SIMPLE CONSTAT

Clochette, ce n'est pas ta poudre qui lui permet de voler/
En ce soir de mi-juin, le pollen le fait planer/
Briquet, cendrier, quelques feuilles, il est inspiré/
Égaré entre l'enfance, la vie d'adulte! Il m'en prie,/
«Petit Homme, tu es parti, je me sens inaccompli/
Rappelle-moi à quel point tu avais bien plus à m'apprendre/
Que ces guignols, qui nous maintiennent chaque jour dans l'ignorance»/
Réfractaire, ses pensées, voilà ce qui fait la différence/
Et qu'importe que celles-ci ne rentrent pas dans leurs critères/
Il les assume et avec elles, ne commettra jamais d'adultère/
«Tu seras», lui ont-ils dit. Sans même vouloir connaître son avis/
«Sans question, tu avaleras toutes nos merdes! Bon appétit!/
Nous t'offrirons un esprit critique, gare à toi si il dévie/
De nos cases, de nos règles, de nos lois, … Tshh, obéis!/
Chaque matin, tu partiras avec ta gamelle, travailler/
Pour t'accomplir, gagner ta vie, te construire un bel avenir/
Dans le confort, les illusions, les taxes et les crédits/
Dans ton esprit nous intégrerons un «Motherfuncking'idéal de vie!»/
Que tu suivras, comme tous les autres, sans aucune remise en question/
Le chien, la voiture, les enfants, la femme et la baraque»/
S'en suivront, sous quelques notes, les bris de verre, les discussions/
Qui vous amèneront, tous les deux, à vous décharger de la barque/
Vous connaîtrez la solitude, vos pensées exploseront/
Oubli de sois, la Sagesse, ... Suivront: réponses à vos questions/
«Mais qu'ai-je fais de ma vie, où sont passés mes rêves de gosses?»/
A coups de pioche tu as creusé, les as déféqués dans une fosse/
Pour ta Grosse, qui t'a quitté pour quelques coups de kékettes/
Ne lui en veut pas, c'est comme ça, Madame adore la levrette/
Égoïsme, Séduction, ... Les gens se perdent dans le «Paraître»/
Avec le Sexe et l'Argent, ils nous mènent à la baguette/
Dociles, ils nous font croire en l'avenir, qu'on sera riches/
Pour te séduire, te tromper, Mariane nous sort ses yeux de biches/
Ils exploitent la jeunesse et voudraient que l'on soient Nationalistes/
Sucent la bite des Sionistes, c'est un investissement économique,/
Technologique, militaire mais aussi stratégique/
Car ils dirigent les domaines de la finance et des banques/
Des médias, de l'armement, les dictatures de l'Orient/
Productrices de pétroles, y ont le contrôle permanent/
Je ne vais pas approfondir, je prendrais du ferme pour mes écrits/
Au pays des droits de l'Homme, laisse-moi cracher sur leur hypocrisie/
Le Loup des Steppes crèche en toi à l'égal de Peter Pan/
De nature solitaire, tu as conservé ton âme d'enfant/
Fatigué, tu absorbes ce breuvage, ce carburant/
L'obtenant par distillation de ces produits fermentés/
Il te libère et avec lui, par la main, vous contemplez/
Dame Société, dis-nous tout! Petit Panda en sucre, mais que s'est-il passé?/
En bas de chez toi, des toxico's et tout ça sans compter/
Les coups de couteaux, les putes, ces caméras qui nous épient,/
Les pochons, les radars, tous ces gens faibles d'esprits/
Aucun brassage, fracture sociale, traîtrises et trahisons/
On s'entre tuent pour des histoires de cultures, de religions/
Division maintenue, esprits anesthésiés, télévision/
Faites-vous la guerre et surtout laissez les banquiers ourdir/
Pleurez une dette provoquée qui elle seule est productive/
Marionnettistes, c'est bien dans l'ombre, tous ces chiens, qu'ils aiment agir/
Comprends le monde, ouvre ton esprit, libère-toi de ces poncifs/


LETTRE MORTE

Aujourd'hui, c'est par faiblesse que j'accepte de me soumettre/
A un maigre salaire qui n'a pour but que de me permettre/
De survivre, payer les factures, la bouffe et le loyer/
Partir loin, depuis longtemps je n'ai qu'une envie c'est de m'en aller/
Aller prendre l'air, pourquoi ne pas vivre et puis pourquoi ne pas respirer/
Mais où irai-je, que ferais-je? De partout le même Système/
De la tour de Babel, j'en ai marre! Besoin d'une trêve/
Vagabondage, je prends mon skate, j'oublie tout et je me casse/
Sur la Corniche, le cri des mouettes, le bruit des vagues et puis le sable/
Sous l'abris-bus, ce sans-abris, je prends conscience, je relativise/
«Toi tu te plains, regarde-le, lui, connaît vraiment l'asphyxie,/
La survie, la solitude, l'oppression et puis l'ennui!»/
Je suis calme, pourtant j'aboie mais, t'inquiète, je ne mords pas/
Pacifiste, sur le champ de bataille, j'espère entendre sonner le glas/
Pouvoir me dire que tout est fini, changer de décor et pourquoi pas/
Faire la Paix avec l'Ennemi! Avec le temps on se pardonnera/
La plume hors de l'écrin, un petit peu d'encre et je me délivre/
J'observe, j'analyse, je comprends et je décris/
Les maux de ce monde, tout ce qu'il se passe ici/
Angoisse, dépression, … Normal que Jeunesse dérivent/
La brume comme horizon, peut-elle croire en son avenir?/
La seule alternative qu'Ils lui proposent c'est de subir/
Manger, boulot, dodo, un peu de sexe pour la divertir/
Pansement, guérison, … C'est banal mais elle veut Vivre!/
Lettre à toi, Société! Mais, regarde-toi régner!/
Regarde un peu le monde et regarde ce que tu en as fait!/
Des femmes se font violer, ta jeunesse désorientée/
Mères absentes, égoïsme, … Les gosses, eux, manquent de repères/
A douze ans, ils parlent de flingues, ils parlent déjà de billets verts/
Ils parlent de baise, de levrettes et puis, honte à celui qui est vierge/
Huxley avait raison, arrive «Le Meilleur des Mondes»/
Question de mœurs, c'est possible! Que vont devenir nos mômes?/
Combien tomberont dans la drogue, la violence ou bien l'alcool?/
Tiens, je repense à mon pote, je l'ai recroisé il y'a peu de temps/
Lui, il a fait de la taule, mais où est donc passée cette époque?/
On s'échangeait nos Pokémons, on squattait sur les bancs/
de l'école! On rêvait, ignorants envers ce monde/
Jamais je n'aurais cru voir ma jeunesse si morne/
Sans espoir, elle fume le shit et dans la bière elle se noie/
Car être esclave d'une Élite, elle le refuse! Voilà pourquoi/
La plume hors de l'écrin, un petit peu d'encre et je me délivre/
J'observe, j'analyse, je comprends et je décris/
Les maux de ce monde, tout ce qu'il se passe ici/
Angoisse, dépression, … Normal que Jeunesse dérivent/
La brume comme horizon, peut-elle croire en son avenir?/
La seule alternative qu'Ils lui proposent c'est de subir/
Manger, boulot, dodo, un peu de sexe pour la divertir/
Pansement, guérison, … c'est banal mais elle veut Vivre!/


QUELQUES RIMES EN VRAC

Six heures vingt, ce n’est pas le réveil qui fait que tu t’éveilles/
A travers la fenêtre, tu entends le camion-poubelles/
De retour à la réalité, il t’a arraché à tes rêves/
Tu te lèves, avale un café et t’en va partir travailler/
Dépêche-toi, grille les feux si tu veux esquiver les bouchons/
Tu en as marre, ne supportes plus, dans ta vie, de tourner en rond/
Mais bon, cet été tu pourras partir à la mer/
Te détendre, y’aura du sexe, des panneaux publicitaires/
Des coquines à la télé, de l’illusion, ça va te plaire/
Tu aimes ta femme, tu aimes tes proches! T'as pas de gosses, pourvu que ça vienne/
Elle t’aime aussi mais elle s’ennuie, avec toi c’est le quotidien/
T’a-t-elle trompé? A-t-elle pensé un jour changer de partenaire?/
Tu te prends prend la tête, ne veux pas la perdre, tu te dis que c'est toutes les mêmes/
Si tu t’ennuies, brise le carreau! Vas-y, fais péter la fenêtre/
Oublie tes peurs, elles te rongent, va t’en déployer tes ailes/
Le Vide, lui, n’est qu’un leurre! Vas-y, saute de la falaise/
Quand tu te perds, un conseil, repense au gosse que tu étais/
A ce qu’il voulait, comment «adulte» lui-même se voyait/
Sa naïveté, son insouciance, à chaque instant, sa Liberté/
Fais-lui confiance! Vas-y, laisse-le te guider/
Quand tu te perds, un conseil, repense au gosse que tu étais/
A ce qu’il voulait, comment «adulte» lui-même se voyait/
Sa naïveté, son insouciance, à chaque instant, sa Liberté/
Fais-lui confiance! Vas-y, laisse-le te guider/
Jeune adulte, tu prends conscience qu'entouré tu es comme seul/
Et comme les autres, tu te mens, tu te dis que tu t'en moques/
Qu'importe qu'il y ait du sens, on finira tous dans un linceul/
Quand la Faucheuse, résistante, affranchira nos âmes ilotes/
On sera pleurés puis oubliés, enveloppés dans ce suaire/
Enfin Libres, aucune contrainte, nous déserterons nos vies précaires/
Car à défaut d'être des faussaires, on mène des vies de prolétaires/
Alors je m'isole, solitaire, avec mes vers, rien d'autre à faire/
Je vagabonde avec ma plume, instant d'ivresse, je me sens libre/
J'oublie ce monde si triste, les putes, la drogue, quelques calibres/
Ça vole, ça viole, ça tue, … Cette mère de famille gise dans son sang/
A l'agonie, une lame l'a assénée, et tout ça devant ses enfants/
Quand tu te perds, un conseil, repense au gosse que tu étais/
A ce qu’il voulait, comment «adulte» lui-même se voyait/
Sa naïveté, son insouciance, à chaque instant, sa Liberté/
Fais-lui confiance! Vas-y, laisse-le te guider/
Quand tu te perds, un conseil, repense au gosse que tu étais/
A ce qu’il voulait, comment «adulte» lui-même se voyait/
Sa naïveté, son insouciance, à chaque instant, sa Liberté/
Fais-lui confiance! Vas-y, laisse-le te guider/
Tu côtoies le vide de sens et de ce monde, tu as conscience/
Qu'il se ronge, Ils l'aboient un peu sur toutes les hautes fréquences/
Les bombes pètes et les comptes, eux, se règles à la mitraillette/
La misère, elle s'accroît! Certains ne mangent même pas les miettes/
Que sommes-nous? Des cannes blanches qui avancent à l'aveuglette/
En quête d'essence en ce qui concerne le destin ainsi que ton Être/
Tu te cherches, puis tu t'oublies, tu trouves bien-être dans ton Refuge/
Ta plume t'apaise, te donne un sens! Mauvaises pensées, elle seule les purge/
Ma belle, te rappelles-tu, ce soir d'automne de notre rencontre?/
Déjà treize ans à tes côtés, il y aura de belles années encore/
Tu étais belle, marginale, un peu rebelle, je te voulais mienne/
Sincères l'un envers l'autre, nous sommes toujours restés fidèles/
Te rappelles-tu de cette promesse, les yeux au ciel, que nous nous sommes faite?/
Aucun tabou, d'atteindre la cime, ne jamais tricher, rester honnêtes/
On était naïfs, pleins de volonté, depuis le temps a bien filé/
On est ensemble, c'est tout ce qui compte! Rien à foutre du succès/
Quand tu te perds, un conseil, repense au gosse que tu étais/
A ce qu’il voulait, comment «adulte» lui-même se voyait/
Sa naïveté, son insouciance, à chaque instant, sa Liberté/
Fais-lui confiance! Vas-y, laisse-le te guider/
Quand tu te perds, un conseil, repense au gosse que tu étais/
A ce qu’il voulait, comment «adulte» lui-même se voyait/
Sa naïveté, son insouciance, à chaque instant, sa Liberté/
Fais-lui confiance! Vas-y, laisse-le te guider/

j'aime beaucoup tes textes.
Très proche de ce que je peux parfois ressentir sur l'existence, notre Société...
J'en arrive même à me demander si nous ne sommes pas dans l'univers de "Matrix".
Et puis, pour retrouver la vie en rose, je regarde autour de moi et admire toutes ces choses simples de la vie qui sont juste belles.
On m'a dit un jour; "il faut savoir faire une pause, et apprécier le moment".

C'est le destin qui me fait tomber sur ce texte d'un artiste peintre Mathieu Robert, sur un forum de FB à l'instant:
"Ce soir, j'ai peint un peu mon paysage urbain ...

Parce que la vie est remplie de couleur. Je penses qu'il faut parfois s’arrêter et dire stop. 🦸‍�Stop à notre train train quotidien. Devant les lumières autour de nous, dire: ''wow c'est si beau... '' tsé dans nos journées de fou, ya des moments où on ne réalise pas la beauté autour. Ya des moments où les reflets des lumières se synchronisent ici et là et puis devant nous naît une composition unique et magnifique.

C'est peut-être que du béton, de la féraille, maaaaiiiiss les tons, les textures, les hasards de la vie et les reflets des objets de la nature transformée par l'activité humaine dans petit paysage urbain m'appel.

Vive la vie. Regardons et apprécions ce qui nous entour.

Je suis artiste peintre! Nous sommes tous artiste peintre ce qu'il vous manque c'est un pinceau, du vin et des toiles!

hihihihi!!!

Merci d'y avoir prêté attention! Oui, souvent quand j'écris comme ça, j'essaye de faire ressortir les douleurs qui nous sont finalement communes à tous, en essayant d'en faire ressortir la source! Comme j'ai essayé de la faire dans ma BD, tu verras!

Matrix c'est un chef d'oeuvre, y a pas à chier!

Très beau texte, je ne connaissais pas! Oui, faut essayer de ne pas constamment se laisser polluer par le negatif et voir les belles choses aussi! Elles sont nombreuses!

Oui, effectivement, c' est beaucoup de travail, et tu excelles en la matière.

Tu est taillé pour faire de la BD. Il faut te faire connaitre .

Millepatte

Ce que je veux dire, c' est que tes textes sont en relations avec tes graphismes, et que tu ne manquera jamais d' inspiration vu la qualité des récits que j' ai lu .

Je pense que l' histoire du premier album, n' aura pas de mal à faire suivre un second et un autre.

Millepatte

Merci Millepatte! En effet, je n'ai pas étais confronté au syndrome de la page blanche pour l'écriture du tome 02! ^^