En quoi je suis amer...

Une chose que je voulais préciser, mais je dois avouer que je crains terriblement de l' évoquer car je me heurte de trop a l' incrédulité (voire parfois a l' ostracisme)

En gros voila : dans ma jeunesse au début des années 80, j' ai été sur plusieurs années la victime d' un harcèlement moral (je n' ose pas dire d' une machination, même si cela est finalement fondé) qui m' ont a terme confronté au traitements neuroleptiques avec leurs cortège d' effets notoirement dévastateurs sur la créativité artistique

Auparavant, j' avais passé deux ans pour passer le bac a l' école internationale de Genève, avec pour principal intérêt de pouvoir entrer au beaux-art

Le rapport avec l’ entourage des atelier de peinture a l’ Ecolint était du reste extrêmement  ambigu, d’ un côté on admirait mon travail (apparemment, et bien que ce n’aient pas été mon sentiment, j’ étais le seul capable a leur yeux a faire ce que je faisait) mais en même temps j’ étais confronté a une hostilité larvée, il faut dire que j’ avais une personnalité pas forcément des plus mature, (pour dire les choses pudiquement) ce qui fait que je m’attirais un certain nombres de crasses et surtout, bien qu’ en apparence on considérait mon travail avec une certaine admiration, en même temps on me laissait deviner qu’on ne voulais pas de moi, voire que l’on me détestait cordialement  (réflexions du genre « bon vent !» dans mon dos)

Ce qui fait que, bien que j’ aie passé mon IB (international baccalaureat) j’ avais un sentiment assez amer car c’est comme si (comme si !) tout le monde avait tourné le dos a la personne indigne que j’étais sensé être

mais comme j’ ai put le constater beaucoup plus tard et a mes dépend, tout cela ne c’était pas arrêté la

Il sera long et ardu a expliquer comment on s’y est pris les années qui suivirent pour justifier au yeux de la société et du pouvoir médical a me contraindre a prendre un traitement, j’y viendrait car a ce que je peut en juger, ce fut parfois particulièrement alambiqué

mais rétrospectivement il me sembleq ue le traitement neuroleptique a eu surtout pour qualité première, ma foi,  de m’ incapacité a la source et que les « entretiens psychothérapeutiques » qui perdurèrent des années durant auraient surtout servit, en noyant méthodiquement le poisson, a justifier ma maintenance sous leur traitements

Traitement qui auraient vraisemblablement duré a vie, sans JAMAIS (et si ça se trouve... sciemment !) entrer dans le fond du problème si j’avais suivit leurs recommandation solennelle et catégorique . C'est inouï, (voire impensable) dans un supposé état de droit que la plausible éventualité d' une telle machination aie pu s'installer triomphalement

Or tout schizophrène que je soit,(ou sensé être), cela fait 22 ans maintenant que je refuse toute médication neuroleptique

et je ne parle que de ça, au point ou cela en est les harcèlements n’ont jamais vraiment cessé et reviennent de manière récurrente en s’ adaptant a la conjoncture, (cela ressemble a une partie d’ échec bloqué ou une attaque est contrée,reprend ailleurs pour revenir et tourner en rond, perpétuellement)

A savoir éviter que je puisse mettent un nom sur un visage, ce qui fait que les invectives se font a distance ou a proximité, se noient dans l’ ambiguïté du geste, du regards appuyé (ce qui crée un climat particulièrement malsain), jouer le plus possible sur les apparence qui me fond percevoir par dans ma société comme un fou malade qui parle tout seul dans la rue

Ce qui par la force des choses, ma foi, est devenu vrai jusqu’ a un certain point, car on a clairement su y faire ...

Le plus ironique dans l’ affaire, comme me suis endurcit quelque peut et qu' avec l' expérience j’ ai éventé un grand nombre de leurs stratagémes, j’ en ai observé qui se lamente de se sentir impuissant ("ça fait chier...ou ne peut rien faire !")
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Voila, sur l’ heure et sans que vous ayez a me croire sur parole, j’ essaie de me reprendre en main et d’ achever un nombre suffisant de tableaux pour simplement espérer les faire exposer, aller de l’ avant tant qu’il en est encore temps car av 56 ans, je n'est a l' évidence plus la vie devant moi

En cela je compte sur vous, merci d’ avance, les jeunes loups !

@Alexandre Borcic Eh bien ! Quelle histoire ! J'avais pas vu ta présentation alors tout d'abords : bienvenue à toi au forum ! ^^
Tu sais, de toute façon, les traitements contre la schizophrènie, ca existe pas encore, c'est que des trucs qui empèchent la pensée (ce qui est dévasateur). Certains arrivent à l'apprivoiser sans traitement.
Si j'ai un conseil (j'ose modestement, c'est peut-être débille puisque je ne sais pas tout de la situation) ; ne rennie pas trop tes proches, ils comprennent peut-être tout simplement pas, et a cause de ça font de très mauvais choix envers toi.

J'èspère en tout cas que tu te plaira ici au fofo !

Bienvenu parmi nous et j'espère que tu trouvera réponse à tes questions.
En attendant, nous admirerons tes œuvres!